Ce texte n’engage que son auteur et ne représente pas une position officielle des bahá’ís de France
Que peut-on voir dans les yeux d’un homme ?
Sublime Iran, envoûtantes cités, poignardée,
En plein coeur , de l’ignorance abreuvée,
Pétrie, soumise, enchaînée, déracinée !
Que vois-tu , O pupille, Martyr de Baha ?
Ecartelée, déchirée, obscurcie la conscience
De l’être, qui dans le Sceau voit la fin
Et dans la fin l’incompréhension…
Versez-vous le sang, sur la voie s’entremêle les corps
Déverses-tu les paroles profanatrices, fausses , manipulées ?
Iran, mon Iran, ma bien-aimée,
Le regard de l’enfant ne saura se tromper.
Iran, mon Iran, ma bien aimée,
Les voiles, à présent, sont enlevés.
Anonyme