Témoignages
Marie Bullion
Art-thérapeute, Lyon (Rhône), 29 ans
J’ai découvert la foi bahá’íe alors que je prenais des cours de théâtre d’improvisation. Je me suis liée d’amitié avec deux jeunes qui participaient aux cours, comme moi. Ils étaient bahá’ís. Je ne m’intéressais pas à leur religion, mais leur joie de vivre m’a vraiment touchée et à force de discuter sur des thèmes profonds et spirituels, je les ai écouté m’expliquer d’où venait leur joie de vivre.
« J’ai appris que c’est en faisant des efforts que l’on pouvait y parvenir et que Dieu nous confirme dans cette voie. »
– Marie, 29 ans
Ça m’a bouleversé, ça a changé ma vision du monde ! Non,… ça l’a développée, voire même améliorée ! J’ai réalisé à quel point mes actes et mes paroles avaient des conséquences. Et si je souhaite une société où l’on considère vraiment l’être humain et pas seulement quand ça nous arrange, d’une société avec une vision optimiste, alors je dois développer mes qualités spirituelles car ma responsabilité comme celle des autres est engagée. J’ai appris que c’est en faisant des efforts que l’on pouvait y parvenir et que Dieu nous confirme dans cette voie.
André Brugiroux
Auteur-conférencier, Boussy-Saint-Antoine (Essonne), 76 ans
« En vérité, je n’ai pas trouvé d’idéal plus élevé ni de réponses plus adéquates aux besoins du jour que les écrits bahá’ís. »
– André, 76 ans
C’est la lecture de Bahá’u’lláh et l’ère nouvelle qui m’a fait adhérer à la foi bahá’íe. Livre que m’ont offert des bahá’ís américains en Alaska en plein hiver (par -45°C) lors de mon tour du monde en stop. Ce livre répondait non seulement à toutes les questions que je me posais lors de ma quête planétaire mais bien au-delà. Le monde est devenu clair à mes yeux d’un coup et mon épopée a pris tout son sens. Je ne pouvais pas imaginer une telle vision du monde. Le puzzle était reconstitué ! Je suis devenu un autre homme. Un homme nouveau. Mon voyage n’aurait eu aucun sens sans cette découverte. Ce fut mon Graal. En vérité, je n’ai pas trouvé d’idéal plus élevé ni de réponses plus adéquates aux besoins du jour que les écrits bahá’ís.
Françoise Le Goff
Cadre supérieur à la Croix-Rouge internationale, Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie), 53 ans
La première fois où j’ai entendu parler de la foi bahá’íe, c’était lors d’une conférence interreligieuse à Genève en 1999. J’étais en recherche spirituelle et je ne trouvais pas les réponses à mes questions en tant que catholique. J’étais aussi très concernée de pouvoir proposer une éducation spirituelle à mes deux jeunes enfants adoptés au Kenya. Finalement, le 11 février 2007, je me suis déclarée bahá’íe au Zimbabwe après une année d’approfondissement.
« …j’ai ressenti une joie et une spiritualité très profondes qui rayonnaient autour de moi. »
– Françoise, 53 ans
Dès ma déclaration, j’ai ressenti une joie et une spiritualité très profondes qui rayonnaient autour de moi et me donnaient beaucoup d’énergie. J’essayais d’appliquer les lois de prier tous les jours, de lire des écrits, d’être dans un esprit de service et « d’adoration » à tout moment de la journée, même au travail. Ce sont des exercices difficiles au début et c’est dans la pratique et avec humilité que petit à petit, j’ai senti une harmonie et une unité intérieures se développer en moi.