Ses écrits sont traduits dans plus de 800 langues. Sa diversité est à l’image de celle de l’humanité, une humanité qui n’est pour les bahá’ís qu’un seul peuple au destin commun, comme l’a énoncé, au XIXe siècle déjà, le fondateur de leur foi, Bahá’u’lláh :
« La Terre n’est qu’un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens.»